Ils partagent leur foi
Jean Pascal est né en 1955. Il est marié depuis septembre 1978 et père de 2 enfants (aujourd’hui adultes). Jean Pascal est retraité depuis 2018. Voici son témoignage :
Avant de raconter comment j’ai rencontré Jésus-Christ, j’aimerais partager un court passage de la Bible dans le Nouveau Testament : »Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme; il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses. Il a fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang, habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure ; il a voulu qu’ils cherchent le Seigneur, et qu’ils s’efforcent de le trouver en tâtonnant, bien qu’il ne soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être.’‘
Ce passage caractérise bien ce qu’a été mon »tâtonnement », c’est-à-dire mon cheminement pour rencontrer celui qui est la Vie.
Je suis le deuxième d’une fratrie de quatre enfants. Notre famille est catholique de nom, croyante mais non pratiquante. J’ai donc suivi l’enseignement du catéchisme jusqu’à l’âge de 12 ans. J’aimais bien entendre raconter les histoires de Jésus dans les Evangiles. Mais je voyais en elles de belles histoires seulement et des leçons de morale, sans en comprendre vraiment la portée.
Nous devions aller à la messe, mon frère et moi. On n’aimait pas trop y aller.
Ce que j’aimais bien, en ces moments-là, c’était entendre chanter des cantiques, car certains éveillaient en moi beaucoup d’émotions. A une époque, j’ai même été enfant de cœur.
Après mes douze ans et la communion solennelle, je pensais avoir accompli mon parcours religieux et tout cela ne m’intéressait plus vraiment. La religion et sa tradition avaient plutôt pour moi une odeur de mort et de servitude …
Je me rappelle qu’à cette époque, même si je me disais croyant, je ne savais pas très bien en réalité en quoi je croyais et je me posais cette question : vaut-il mieux être catholique ou chrétien ? Car je voyais bien que ce que disait l’Evangile était différent des pratiques religieuses.
Jeune ado, j’étais passionné par les choses de la nature. J’avais commencé un herbier, puis une collection de minéraux, mais c’est surtout l’astronomie qui me passionnait. Je lisais les articles de la revue »Tout l’univers » qui paraissaient chaque semaine et que j’attendais avec empressement lorsque ma mère allait acheter le magazine chez le buraliste du quartier.
J’entrepris alors la construction d’un télescope avec sa monture en bois lorsque j’avais 14 ans environ. Mais observer les planètes et les constellations depuis le ciel pollué de Villeurbanne, relevait déjà à cette époque et relève toujours d’ailleurs de la prouesse.
Puis dans les années 70, on parlait beaucoup des fameux »Objets Volants Non Identifiés » appelés vulgairement »soucoupes volantes ». Et cela devint pour moi un nouveau centre d’intérêt.
C’est alors que je me posais de nombreuses questions : »Y a-t-il véritablement de la vie dans l’univers ? Y a-t-il de la vie sur d’autres planètes ? A quoi peuvent bien ressembler nos lointains voisins ? »
Mais une question en entraîne une multitude d’autres et je cherchais les réponses : »Quel est le sens de la vie, pourquoi existons-nous, que se passe-t-il après la mort ? Et, s’il y a une autre forme de vie ailleurs dans l’univers, alors où est Dieu, où se trouve-t-il ? »
Je lisais alors de nombreux ouvrages sur les “OVNIs”, des livres qui rapportaient ce que les uns ou les autres avaient vu ou exceptionnellement photographié ou filmé. Les engins bizarres métalliques ou lumineux. Les êtres étranges, hideux, velus ou angéliques …
Certains ouvrages, plus théoriques, y mêlaient ésotérisme, fin du monde, mondes parallèles, civilisations disparues, activités paranormales … Activités qui m’intriguaient mais qui, certes, ravivaient aussi ma curiosité.
Comme certains de ces livres parlaient de la fin du monde, je me plongeais aussi, de temps à autres, dans la Bible et notamment le livre de l’Apocalypse que j’avais gardé de mon passé. Mais ces écrits étaient obscurs, inquiétants et difficiles à comprendre.
Pourtant ce que je retirais des lectures de l’Apocalypse était que les uns, les bons, seraient sauvés et que les autres, les méchants, seraient perdus à tout jamais. Et bien sûr ma propre justice me faisait dire que j’étais parmi les bons qui seraient sauvés à cause de ma vie honnête et parce que j’étais croyant. Ça me rassurait un peu.
Je rencontrais aussi d’autres jeunes passionnés d’OVNIs, mais nos rencontres tournaient souvent autour de discussions sur l’électronique, la physique ou la chimie, ou les mathématiques. Et puis il y avait les rencontres avec des personnes plus âgées, moins terre à terre. Et là nos échanges se terminaient par une bonne bouteille de rouge.
En réalité ce que j’aimais surtout, c’était aller dans les campagnes sur mon cyclomoteur, sur des sites où on supposait avoir aperçu des phénomènes étranges. Plus j’avançais dans mes investigations de vies extraterrestres, plus je me rendais compte que cette recherche me faisait glisser vers un monde occulte et ces choses obscures commençaient à remplir mon cœur de crainte.
En 1974, je terminais mes études et je voulais de suite partir au service militaire obligatoire pour en être débarrassé. Un an plus tard, je trouvais du travail dans une imprimerie de Villeurbanne. Dans cette imprimerie, il y avait un employé qui était différent des autres, qui semblait toujours joyeux, sifflotant ou chantant des cantiques dans l’atelier.
Il me parlait de Jésus alors que je lui parlais de mes soucoupes volantes et des extra-terrestres. Je le voyais heureux et je ne pouvais pas vraiment dire que je l’étais, à cause de toutes les questions qui tournaient en boucle dans ma tête.
Un jour, il me donna un petit évangile de Jean et il me dit de le lire en me recommandant de demander à Jésus de se révéler à mon cœur.
J’étais tellement désespéré et triste qu’un soir j’ai fait une prière en demandant sincèrement à Dieu de se révéler à mon cœur. Et à travers mes tâtonnements, il s’est révélé à moi.
A plusieurs reprises, ce collègue m’invita dans des rencontres d’évangélisation. Je me rappelle des différentes réunions au printemps de 1976, qui se tenaient dans une salle à la mairie du troisième arrondissement de Lyon et dont l’orateur était Fernand Legrand.
Lors d’une de ces rencontres, c’est comme si un voile devant mes yeux m’avait été ôté et je compris clairement ce qu’était mon péché. Non pas seulement ce que je faisais de mal mais aussi ma nature d’homme. J’étais éclairé sur la signification du sacrifice de Jésus à la croix : il a pris volontairement sur lui le jugement de Dieu et il a subi la condamnation que mérite mon péché. C’est moi qui aurait dû être cloué sur cette croix pour mes fautes, pas Lui !
Je compris aussi ce que signifie être bon selon Dieu : en acceptant de reconnaître comment il me voit Lui et non comment je me vois, moi.
Je ne pouvais que reconnaître que jamais je n’arriverai au niveau de ses exigences et ne serai jamais assez bon. Je ne pouvais donc que me jeter dans les bras de Jésus-Christ, seule solution pour satisfaire les exigences de Dieu et les besoins de mon cœur. Voilà ce que j’ai compris et que j’ai fait.
Je me souviens des doutes dans mon cœur et combien Satan me susurrait à l’esprit que je serais un lâche d’abandonner l’église que je fréquentais précédemment. Et cela provoquait un grand conflit en moi, mais j’avais toujours soif de vérité et de paix !
Un dimanche matin, alors que j’étais à la maison, je me suis senti vraiment poussé à assister au culte de l’église évangélique de réveil de Villeurbanne avec le pasteur Claude Stalin. Et en sortant du culte je fus abordé par chrétien qui m’invita à assister à une convention de jeunesse près d’Yverdon en Suisse. Invitation acceptée et je m’y rendais avec ma vieille 2CV de 1966 dans les Alpes Suisse.
C’est véritablement là, pendant cette convention, que j’ai pris la décision de suivre Jésus et de me faire baptiser par immersion.
J’avais été baptisé bébé, mais il me semblait que celà n’avait pas de valeur aux yeux de Dieu et qu’il me fallait lui obéir afin de saisir toutes les promesses de la vie éternelle.
Au moment où j’ai pris cette décision j’ai été rempli d’une joie surnaturelle et les premiers versets qui me sont venus en ouvrant ma Bible tout de suite après l’avoir prise, furent ceux de Jean 15 (9-11) :
»Comme le Père m’a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j’ai gardé les commandements de mon Père, et que je demeure dans son amour. Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite ».
Je me suis donc repenti de mes péchés pour suivre Jésus et j’ai été baptisé en Septembre 1976. J’ai compris alors qu’il y avait une différence entre avoir une connaissance intellectuelle de Jésus et être né de l’Esprit comme il est écrit : »Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu’‘ (Jean 3.5).
Il existe beaucoup de mystères ici-bas et même si la science recule toujours davantage les limites de la connaissance, dans le but inavoué d’atteindre Dieu à sa manière, cette connaissance intellectuelle ne suffit pas à le connaître, Lui. Il faut plus ! Il faut une rencontre !
Dieu a choisi une autre voie pour qu’on le connaisse, celle de la confrontation de notre péché, celle de la rencontre de Jésus-Christ. Il est le seul nom qu’il nous faille connaître absolument, car il est le seul laisser-passer vers Dieu et lui seul donne la vraie paix au cœur.
Jésus a répondu aux questions existentielles que je me posais. A travers ce cheminement et à tâtons, il a mis sa lumière en moi et la Bible est devenue vivante pour moi, encore mieux : Jésus est devenu vivant en moi. A Lui soit toute la Gloire !
Sigrid
Sigrid, tu es maintenant une artiste reconnue, tu as sorti un album, plusieurs clips, tu te produis souvent en spectacle, comment en es-tu arrivée là ?
J’ai démarré l’écriture simplement pour raconter le quotidien, les souvenirs, pour partager des choses qui sont à la fois personnelles mais aussi banales en somme. Philippe a composé les premières musiques, Grégory Tanielian les premiers arrangements et un peu par hasard, on m’a conseillé un site sur lequel je pouvais faire découvrir ces titres sur internet. J’ai donc posté ces morceaux sur Akamusic, un site belge où les internautes deviennent producteurs, et tout a démarré. J’ai donc sorti un premier single et un clip « Elle s’immisce », puis un album, distribué cette fois par Universal, et deux autres clips.
Depuis, j’ai travaillé sur un spectacle musical composé d’un trio chanson, danse et langue des signes qui reprend cet album, qui est en fait une autobiographie musicale, et je raconte sous 3 tableaux, enfance, adolescence, âge adulte, les aléas d’une vie, les bonnes et les mauvaises rencontres, les comportements compulsifs et les combats pour s’en sortir.
Une journée d’artiste, ça se passe comment ?
Il faut beaucoup de discipline pour ne pas s’éparpiller puisque l’on travaille seul la plupart du temps. Il faut saisir la bonne idée au bon moment, et la travailler pour la rendre accessible, originale, plaisante. Et prendre du temps pour rencontrer d’autres talents, d’autres spectacles, s’inspirer, construire.
Et Dieu dans tout ça ?
Dieu fait naturellement partie de mon travail, le fait d’avoir axé le spectacle sur une autobiographie Lui donne une place prépondérante puisque la foi fait partie de mon quotidien. Récemment, j’ai démarré des concerts acoustiques, avec Ketsia, à destination principalement des églises puisque le spectacle demande beaucoup de logistique. Les premiers concerts m’ont conforté dans l’idée que le fait de partager sur des événements qui me sont personnels – comme la séparation des parents, le tabou autour de la maltraitance des enfants ou d’autres événements difficiles – déclenche la parole. Il est difficile de démarrer certains sujets, et la musique permet de le faire en douceur.
Quels sont tes projets pour cette année ?
Les concerts acoustiques : on jouera à Clermont-Ferrand en octobre, à Lille en novembre, à Genève en mai. Le spectacle sera en mars à Bron et à Lille. Je prépare également la possibilité de le jouer au festival d’Avignon en juillet prochain.
Je travaille de plus en collaboration avec Aude à l’ouverture d’une maison pour enfants maltraités. Dans ce cadre et dans le but de récolter des fonds, je monte un festival de musique à Albert Camus à Bron le 19 et 20 mars, principalement orienté Gospel.
On y verra plusieurs groupes de musique, des chorales des collèges de ma ville, un concert le samedi soir du groupe de Kristaa Williams, et j’y jouerai avec ma troupe le dimanche après-midi.
D’autres envies ?
Cette année, j’aimerais développer les concerts acoustiques qui sont un excellent moyen de faire découvrir le spectacle.
Je pense également important de m’impliquer dans le groupe de Louange.
Témoignage de Sigrid
Thomas
Peux-tu te présenter brièvement ?
Je m’appelle Thomas. Né à Bordeaux, je suis designer produit, installé à Lyon depuis 2001 après quelques années à Paris… J’aime beaucoup l’art en général, les voyages à l’étranger: ça ressource la vue et l’esprit. Manger avec quelques amis de temps en temps et l’humour au second degré…
Comment es-tu devenu chrétien ?
Mes parents recherchaient sincèrement Dieu à leur manière mais dans la tradition religieuse. En 1975, un an après ma naissance, installés sur Bordeaux pour mutation professionnelle, ils commencent à fréquenter des missions de rassemblement de chrétiens évangéliques, se convertissent réellement puis prennent le baptême selon l’enseignement du nouveau testament de la Bible. Enfant assez précoce et hypersensible, j’ai toujours eu le souvenir d’aimer et de rechercher Dieu comme soutien. J’ai eu « la chance » de grandir, grâce à mesparents, avec un modèle spirituel qui m’a donné des repères jusqu’à l’adolescence où viennent les remises en causes, les confrontations et les crises… L’été 1990, à 16 ans, lors d’un camps d’ados chrétiens, à la fois révolté par le désintérêt de nos concitoyens pour Dieu, mais touché plus profondément par son amour pour moi, je décide de lui confier personnellement ma vie. A la rentrée scolaire, par conviction personnelle, je concrétisais à l’église ce choix par le baptême. Je savais que ce serait le premier pas d’une relation authentique et croissante en maturité.
Comment vis-tu ta foi en ce moment ?
J’expérimente que Dieu contrôle les situations, et surtout celles qui sont franchement stressantes… J’aspire à me ressourcer régulièrement dans l’expression de son amour inconditionnel et parfait : je me sens aimé comme je suis, non pas en fonction de mes capacités ! Je sais qu’avec lui, je n’ai plus rien à prouver. Vivre cela, c’est tellement libérateur pour soi et les autres ! …Avant, il m’arrivait à certaines occasions de projeter sur Dieu l’image d’un patron exigeant et cassant si je ne lui étais plus agréable, c’est tellement faux !
Idem pour la prière : avec les années, et les habitudes, parfois prier c’était devenu comme une contrainte, un devoir pour se donner bonne conscience !
Un jour j’ai enfin compris que prier, c’est un échange entre amis, tout le contraire d’un monologue fastidieux et ennuyeux. Je peux prier à n’importe quel moment de la journée, c’est un dialogue plus intime parce que Dieu s’intéresse aux moindres détails de ma vie.
D’autre part, je suis impacté dans le service de chants au niveau de l’église, ce qui est un réel plaisir parce que notre âme peut s’élever et s’exprimer en apportant le meilleur de nous même pour Dieu.
Enfin je suis en contact avec le groupe des ados de l’église parce qu’ils ont des questions et des réponses à trouver pour pouvoir se construire dans leurs quotidien et face au regard des autres qui compte encore beaucoup dans cette période de la vie.
Dieu a-t-il déjà fait quelque chose de particulier dans ta vie ?
Dieu a fait beaucoup pour moi, il m’a donné une réelle espérance pour vivre et aimer le présent au travers de l’exemple de Jésus…
Déjà il m’a guérit de blessures morales, d’abus divers qui, dans le temps, s’il ne les avait pas cicatrisés, m’auraient rendu amer, cynique, manipulateur, révolté, terriblement insatisfait… et m’auraient éloigné de Lui. Je ne préfère même pas imaginer la suite… Je réalise que c’est une faveur spéciale qu’il m’a donné de le connaître aussi tôt.
Il m’a permis de mieux m’accepter moi-même dans mon identité, par sa bienveillance constante, et donc de mieux accepter les autres comme ils sont. Il a donné un sens profond à ma vie, a apaisé mon sentiment d’insécurité en me rappelant par maintes expériences qu’il m’aime trop pour m’abandonner.
Il m’a permis de faire un métier très créatif et passionnant même si le chemin est parfois difficile.
Il a répondu précisément à mes besoins matériels, à mes besoins relationnels avec des amis loyaux et authentiques que j’ai toujours, et sur les plans émotionnels et spirituels en me donnant la soif d’avancer et de rebondir.
Quels sont tes projets, tes désirs ?
J’ai des projets plein la tête, et surtout des idées qu’il faut je note vite pour ne pas les oublier… J’ai très souvent envie de rendre les choses plus belles et en même temps plus accessibles. Mon métier, à la base très lié à la consommation, me pousse à appliquer mes convictions, mes valeurs orientées sur Dieu dans mon inspiration, pour influencer positivement notre société, et ne pas entretenir une certaine complaisance dans un consumérisme malsain et abrutissant dans ses excès.
J’aime rencontrer des gens qui ont une éthique et des valeurs fortes, même si elles ne sont pas nécessairement chrétiennes. Ce sont des occasions de témoigner par notre « savoir–être » et de cultiver l’ouverture d’esprit.
J’aimerais dépasser mes limites artistiques en apprenant le piano, le jazz vocal, le théâtre. Être aussi plus encourageant et motivant pour ceux que je côtoie et les aider à trouver leur épanouissement dans les dons que Dieu leur a donné…
Faire de la place pour rencontrer Madame… Devenir papa, transmettre, après cela… What else ?
Quel est ton verset préféré ?
Il y en a plusieurs, en particulier dans le psaume 139 écrit par le roi David :
« Quand j’étais encore informe, tu me voyais; dans ton livre, tu avais déjà noté toutes les journées que tu prévoyais pour moi, sans qu’aucune d’elles ait pourtant commencé. »
Dans ce verset, c’est à la fois vertigineux et rassurant de voir à quel point on peut autant compter pour Dieu…